Ils nous parlent de ...Olivier Papleux

Sa maman : J’ai lu et relu toutes ses publications. Parfois choquée, je n’ai pas toujours tout compris, mais je ne lui dis pas pour ne pas le rendre triste. Une maman, c’est là pour aimer son petit Yéyé.

Son professeur de latin : Le jeune Papleux aux longs cheveux ? Il était aussi poète que matheux. Alors qu’il était incapable de réciter un vers d’Ovide sans bégayer, il discutait, serein, avec ses copains.

Oscar : Moi, je suis son vieux vélo de la marque Peugeot. Il m’a chevauché jusqu’à Venise, Biarritz, Barcelone ou Knokke-le-Zoute. Je pense que je serai le sujet de son prochain roman. Ça me console un peu, car, aujourd’hui, je rouille dans une grange. Il m’a abandonné pour un stylo à bille. Le salaud !

Sa machine à café : Les matins où il écrit à la maison, je turbine à fond la caisse ! Toutes les heures, faut que je m’active pour le servir. Et quand ses proches lui reprochent cet abus de caféine, il répond avec dérision : « heureusement que je n’aime pas le café ! » L’ingrat !

 Ses collègues : olivier.papleux@mc.be ? Au boulot, on l’appelle le scribe. À son bureau, en réunion, même aux toilettes, on le voit se pointer avec son carnet rouge. On se demande ce qu’il peut bien écrire tout le temps. En tout cas, on préfère lire ses romans que ses analyses.

Ses coéquipiers du Scragibi : Notre Bolinche ? Il manque d’étude (mots du dictionnaire), mais grâce à sa bonne gestion de la grille de Scrabble, il reste un des meilleurs joueurs du club. Toujours égal et amical, il a un penchant pour les blondes, surtout pour la Binchoise*.

*À déguster avec modération après la partie. 

Sa femme : Un homme bourré de défauts. Mais dès qu’il m’aperçoit, ses yeux s’éclairent. Que je sois nue, fatiguée ou mal fringuée, il me regarde avec plus d’ébahissement que devant une Merveille du monde. C’est mon Olili.

Son chat : Je suis son maître. Le matin, je me blottis contre l’ordinateur qui souffle du chaud. Le soir, je m’étire sur ses genoux pendant qu’il dort devant la télévision. On dit que les chats sont les complices des écrivains. Ça me convient. C’est mon Olichat.

Son paradis : Je suis un minuscule jardin de Braine-l’Alleud. Pourtant, il s’ingénie à m’ériger en espace écologique. Nichoirs, coin pierreux pour les insectes, tas de bois pour les hérissons. Fruits d’été et floraisons toute l’année. Pour vénérer ma fertilité, Olivier a écrit À fleur de peau, des histoires terribles sur les fleurs.

Ses livres

À fleurs de peau

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